Découvrez la seconde édition du Calendrier de l’après Conserto ! Nous vous proposons, tout au long du mois de janvier 2025, des idées d’ateliers, des inspirations, des bonnes pratiques, des outils, en lien avec l’agilité, pour bien démarrer l’année.
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2 janvier
Pour les équipes “produits”, c’est la réalisation de ce produit qui donne tout son sens à leur travail. Mais pour les équipes qui fournissent des services, comment (re)trouver du sens et valoriser leur travail ?
C’est l’offre de valeur de ce canva, mélangeant différents canvas existants (lean canvas, product vision board, product goal canvas et team canvas). Identifier ses utilisateurs/clients, savoir ce qu’on leur apporte dans leurs quotidien et comment s’améliorer, devient un jeu d’enfant.
3 janvier
Voici une pratique de feedback collectif décalée et qui a l’avantage de perdurer dans le temps !
Le principe :
- 1 fleur par personne
- Chaque pétale représente une qualité que l’équipe reconnait à la personne.
- 1 personne est en charge de faire remplir la fleur. Elle remplit 1 pétale et doit ensuite aller demander les qualités de la personne aux autres membres de l’équipe.
Pratique « Flower Power », tirée du Guide de survie au management hybride, 14 outils pour réinventer le travailpar Sacha Lopez et Florence Le Beller, illustré par Marc Dugué.
6 janvier
Cet atelier permet d’estimer de manière “grossière mais suffisante” une quantité importante de User Stories en très peu de temps.
Lorsque, par exemple, on parvient à estimer entre 8 et 10 US en 1 heure avec un Planning Poker, il n’est pas rare qu’eXtreme Quotation permette dans le même temps d’en estimer une centaine.
Les estimations peuvent être affinées ultérieurement au fur et à mesure qu’on en apprend plus sur les US et avant qu’elles soient embarquées dans un sprint. Mais d’expérience, on se rend compte que l’estimation initiale évolue peu.
7 janvier
L’agilité ça peut marcher… mais bon, il y a quelques prérequis. Déjà, il nous faut des pratiques de tests adaptées. En effet, livrer très souvent (afin d’avoir des boucles de feedback), ça veut dire aussi tester très souvent. Il va nous falloir être bons, sinon, ça va nous coûter trop cher et la qualité sera négligée.
Et vous, où en êtes-vous dans vos pratiques de test ?
Essayez les cartes Tests Health Check, un jeu qui vous aidera à faire le point sur vos pratiques actuelles et à les faire progresser.
Si vous souhaitez approfondir ce format, découvrez notre conférence “Et si nos mauvaises pratiques de test étaient LE frein à notre agilité ?”, parmi nos Éclairages : un ensemble d’ateliers et de conférences que nous proposons pour partager notre expertise et vous permettre de tester de nouvelles pratiques et outils (page 22).
8 janvier
Testez vos compétences de communication !
Formez 2 groupes : les spécifieurs, qui donnent des instructions pour réaliser un dessin, et les artistes, qui les suivent sans poser de questions.
Un exercice efficace pour identifier les défis des spécifications imprécises.
- Mettez en lumière l’importance d’une communication claire.
- Découvrez les obstacles liés à des spécifications imprécises.
- Créez un moment ludique et engageant pour votre équipe.
Déroulé de l’atelier
1/ Formation des groupes : Divisez l’équipe en deux groupes : 3 spécifieurs et 2 artistes. Ils ne doivent communiquer ensemble que par écrit.
2/ Les itérations : L’atelier se déroule en 3 itérations successives de 10 minutes, avec un niveau de complexité croissant :
– Une image est fournie aux spécifieurs. Ils rédigent des spécifications écrites qu’ils donnent aux artistes.
– Les artistes tentent de reproduire le dessin en suivant uniquement les instructions écrites.
3/ Comparaison et rétrospective, à la fin de chaque itération :
– Le dessin des artistes est comparé à l’image originale.
– Une discussion rapide de 3 minutes permet d’identifier ce qui a bien fonctionné, ce qui peut être amélioré et les ajustements à tenter sur l’itération suivante.
4/ Débriefing final, à l’issue des trois itérations :
Réalisez une rétrospective globale : quels enseignements tirer sur la communication, la précision et l’amélioration continue ?
Prêts à relever le défi ? Observez comment la communication s’améliore au fil des itérations et tirez des enseignements concrets pour vos projets !
Source : « Draw the Drawing Game », Alistair Cockburn
9 janvier
Dans le Lean Kaizen, le PDCA permet de trouver des améliorations pour tous les petits problèmes que nous rencontrons quotidiennement. C’est le véritable moteur de l’amélioration continue. De quoi s’enlever tous les cailloux de la chaussure.
- Plan : j’analyse un problème, je trouve une contre-mesure et je définis quel indicateur permettra de déterminer si elle est efficace.
- Do : j’exécute la contre-mesure.
- Check : je vérifie, grâce aux mesures, si la contre-mesure est efficace.
- Act : j’adopte, j’ajuste ou j’abandonne la contre-mesure en fonction des résultats.
On l’utilise quand ?
A chaque fois que vous détectez un problème, c’est-à-dire un écart entre l’attendu et le réel.
Cela peut être une anomalie sur une User Story, un problème lors d’une mise en production, etc.
Et comment on l’utilise ?
Sous forme d’atelier de 30 minutes avec la personne qui a détecté le problème :
- On commence par identifier la pièce sur laquelle porte le problème.
- On évalue l’impact (chiffré) du problème.
- On identifie la cause racine actionnable (sur laquelle on peut agir).
- On trouve une contre-mesure immédiate pour corriger le problème.
- On trouve une contre-mesure pérenne pour que ce problème n’apparaisse plus.
10 janvier
Ce jeu permet de s’entraîner à animer un atelier de priorisation Buy-A-Feature.
Cet atelier collaboratif (issu du livre Innovation Games) est très efficace pour aligner les différentes partie prenantes d’un projet et définir collectivement une priorisation.
C’est un atelier extraordinairement puissant mais qui peut être délicat à mener pour l’animateur ou l’animatrice, du fait des tensions qui peuvent émerger, car les différents participants peuvent avoir des intérêts divergents dans ce projet.
Mieux vaut donc venir préparé et s’entraîner en amont.
Pour en savoir plus sur le déroulé du jeu, nous vous conseillons la lecture de cet article sur notre blog. 👇
13 janvier
Recette en 6 étapes d’un « serious game » personnalisé :
1 – Prenez le jeu que vous voulez (vraiment) : un Mastermind un CookingFest, un Docteur Maboule…
2 – Que voulez-vous que votre jeu montre ?
Par exemple, que l’introduction d’un support de niveau 1 va permettre de répondre plus vite aux pannes, voire les prévenir, et libérer du temps aux équipes projet.
3 – Réfléchissez aux analogies avec le quotidien des joueurs et ajustez les règles.
Par exemple, je dois résoudre des codes couleur avec mon équipe. Nous travaillons en parallèle d’autres équipes ayant des couleurs différentes pour récolter le plus de points possible tous ensemble.
4 – Introduisez des « incidents » : les irritants que vous souhaitez résoudre.
Par exemple, parfois, une alarme sonne, on doit résoudre un code sur une table spéciale, où chaque équipe doit amener des couleurs de sa table. Le temps de résolution est mesuré.
5 – Introduisez des règles qui illustrent le changement et rejouez.
Par exemple, un référent des incidents récoltera les pions nécessaires auprès des équipes et aura des indices pour résoudre.
6 – Mesurez l’impact et laissez les joueurs débriefer.
Par exemple, le nombre de points gagnés, le temps de résolution de l’incident. Qu’est-ce qui a changé dans le résultat ? Pourquoi ?
Et voilà : un « serious game » original et entièrement personnalisé à votre besoin !
Petit conseil : durant le jeu, n’insistez pas sur les analogies Laissez les participants faire le lien eux-mêmes avec leur quotidien. Ils vous surprendront !
Pour vous aider à mettre en place ce format, nous mettons à votre disposition 2 kits de jeux clés en main.
Comment les utiliser
Ces deux jeux ont été conçus et éprouvés pour montrer à des équipe les bienfaits d’une organisation d’un département SI avec une équipe de support niveau 1. Leur structure permet de tester et discuter des résultats d’une collaboration avec des ressources dédiées à la gestion des incidents.
Toutefois, les mêmes concepts de jeux peuvent être réutilisés en modifiant les instructions afin d’illustrer ce que vous souhaitez. Le kit « Tous aux fourneaux » en particulier pourrait très bien convenir pour démontrer les effets d’une organisation agile en centrant les participants sur la livraison de valeur (livraison des commandes terminées). La créativité est votre amie pour venir ajuster au besoin que vous voyez dans vos équipes !
14 janvier
Pour s’accorder sur la fin de la phase de maturation de la solution, vous pouvez utiliser la DOR (definition de prêt à réaliser).
Pour s’accorder sur la fin de la phase de réalisation, vous pouvez utiliser la DOD (définition de réalisé).
Et pourquoi pas s’accorder aussi sur la phase de clarification du besoin ? Découvrez une checklist comprenant quelques éléments de DON (definition of need – définition du besoin robuste).
15 janvier
Entre l’affinage et le développement, il peut y avoir une zone floue pendant laquelle les développeurs cherchent le meilleur moyen de réaliser le besoin. La strat tech permet de clarifier ce flou. Collaborative, elle est construite à plusieurs mains et prend la forme d’une liste de choses à faire, à contrôler et à tester pour réaliser la demande.
Avantages de la strat tech :
- Une strat tech est écrite, elle reste, et on peut la retrouver et y revenir.
- Elle permet de dégrossir le sujet pour savoir comment on va le faire.
- Elle permet d’identifier les problèmes ou zones de flou avant de se lancer dans le développement.
- Elle permet d’anticiper et de réduire les effets de bord.
- Elle est construite à plusieurs mains et favorise le débat et la collaboration au sein de l’équipe.
- Elle permet à n’importe quel membre de l’équipe de se lancer dans le développement d’un ticket en suivant les instructions.
- Elle permet la transmission de savoir pendant sa rédaction et pendant le développement.
16 janvier
“Les clés du succès” est un Ice Breaker facile à mettre en place, qui cherche à montrer que le succès se fonde le plus souvent sur des attitudes plutôt que sur des compétences, et donc qu’il est à la portée de tous. Et surtout, ce sont les participants eux-mêmes qui le disent !
Ses objectifs :
- Motiver une équipe.
- Bien commencer une réunion, un team building…
- Prendre conscience que le succès est à la portée de tous.
- Prendre conscience de l’importance de l’attitude.
- Have fun!
17 janvier
x
Pour guider efficacement la phase de conception de solutions, il est important de poser clairement la ou les problématiques auxquelles nous souhaitons répondre.
Le hic, c’est de savoir par où commencer…
Cette trame d’analyse d’une situation vous permettra de plus facilement faire émerger et structurer la rédaction de vos problématiques :
– Factualisez vos observations
– Formulez les changements que vous aimeriez voir, sur la base de vos observations
– Formulez ces changements sous forme de problématique
– Passez ensuite au brainstorming des solutions ou à la formulation de vos besoins sous forme d’User Story.
20 janvier
Comment organiser nos équipes lorsque que l’on est nombreux ?
Comment prendre nos décisions efficacement ?
Comment réduire et mieux gérer les dépendances ?
Lorsqu’il est question d’organisation, on se pose tous un peu les mêmes questions.
Il existe pourtant des pratiques qui fonctionnent.
Souvent nous les connaissons déjà, mais nous n’y pensons pas forcément au bon moment.
Découvrez 155 cartes de patterns organisationnels pour rendre vos ateliers ludiques, dynamiques et pertinents.
*Téléchargement gratuit après inscription à la plateforme.
21 janvier
Dans le Lean Kaizen, on utilise les standards pour améliorer et garantir la qualité, mais également pour partager les connaissances au sein de l’équipe.
Un standard dites-vous donc ?
Il s’agit de la meilleure manière connue de l’équipe aujourd’hui pour réaliser un geste.
Ce geste peut être une livraison, une relecture de code, une rétrospective, la création d’une User Story.
Les Définitions de Prêt (DOR) et de Terminé (DOD) ne sont ni plus ni moins que des standards.
Et on fait ça comment ?
Un standard ressemble à un “modop” tel qu’on a l’habitude de le voir, c’est une suite d’étapes permettant de réaliser une action.
Pour chacune, nous allons ajouter deux informations importantes :
- Quels points de contrôle ? Comment je vérifie que mon étape est correctement terminée et que je ne transmets pas de non-qualité à l’étape suivante ? Cela permet de garantir la qualité à chaque étape de mon processus.
- Pourquoi cette étape ? Quel est l’objectif de cette étape ? Si je ne peux pas répondre, cette étape est probablement inutile. Cela favorise le transfert de connaissances dans une équipe en précisant le sens de chaque action.
Petit bonus pour les Scrum Masters
Cela répond à la question : que fait-on des actions de rétrospective qui ne sont pas des actions ? Ces règles que se fixe l’équipe ?
On peut les ajouter à un standard existant ou en créer un nouveau.
22 janvier
Au travail, nous ne sommes pas seulement des employés. Nous avons aussi une vie, une personnalité et des préférences.
Lorsque nous ignorons ces traits et ces besoins, ou que nous avons l’impression que les autres les ignorent constamment, cela conduit à des conflits et à un mécontentement au travail, nous empêchant de donner le meilleur de nous-mêmes.
Apprendre à se connaître en ayant des conversations ouvertes aide une équipe à surmonter ces problèmes et à créer un environnement de travail qui fonctionne mieux pour tous.
Mais quelle est la meilleure façon d’encourager de telles discussions et de se souvenir des limites ou des nuances les plus importantes de chaque collègue ?
Découvrez une fiche à se partager entre collègues pour mieux collaborer “Manual Of Me” (= Mon mode d’emploi).
Cette fiche comporte plusieurs avantages :
- Mieux connaître les leviers de motivation pour valoriser les potentiels et aider les personnes à se sentir plus épanouies au travail.
- Déterminer leurs moyens et façons préférés pour communiquer.
- De connaître leur domaine d’expertise afin de les consulter.
- De lui offrir sa boisson chaude favorite pour lui remonter le moral pendant les coups durs.
Source : https://marmotte.blog/a-propos-2/management/
Inspiré du Management 3.0 : https://management30.com/practice/personal-collab-cards/
23 janvier
Brisez la glace et créez du lien avec le bingo humain.
Comment ça marche ?
Chaque participant reçoit une grille contenant des cases à remplir, chacune correspondant à un fait ou une caractéristique :
“A vu un film plus de 10 fois.”
“Parle plus de trois langues.”
“Joue d’un instrument de musique.”
L’objectif ? Aller à la rencontre des autres participants pour trouver ceux qui remplissent ces critères et compléter sa grille.
Dès qu’un participant complète une ligne (horizontale, verticale ou en diagonale), il peut crier “Bingo !” pour signaler sa victoire. Le jeu peut ensuite continuer jusqu’à ce que quelqu’un remplisse toute sa grille.
Pourquoi l’adopter ?
Le bingo humain est une façon simple et efficace :
- De briser la glace : idéal pour faire tomber les barrières dès les premières minutes.
- De favoriser les échanges : tout le monde interagit, même les plus réservés.
- De créer des souvenirs : le jeu génère souvent des moments drôles et mémorables.
Un petit conseil pour pimenter le jeu
Adaptez les cases à votre groupe ou à votre thématique. Pour aller plus loin, demandez à l’avance une anecdote à chaque participant et intégrez-les dans les cases du bingo : effet surprise garanti !
Un Template ?
Nous mettons à votre disposition un template de bingo clé en main pour simplifier la mise en place de cet ice breaker.
24 janvier
Décider de manière collective dans un temps raisonnable c’est possible !
Il suffit de suivre un protocole de décision par consentement mutuel.
Pourquoi est-ce utile ?
- Cela met les choses au clair ! Les positions de chacun sont tout de suite visibles et nous nous concentrons sur les blocages uniquement ! Gain de temps assuré !
- Cela invite à la construction plutôt qu’au rejet. On demande à chaque « opposant » de formuler des propositions de modifications qui rendraient l’idée acceptable à leurs yeux. Il ne s’agit ici d’expliquer « Qu’est-ce qu’il faudrait ajouter/modifier à cette idée pour la rendre meilleure », ce qui est beaucoup plus ouvert et créatif !
- Cela développe l’efficacité collective. Un groupe qui utilise ce mode de prise de décision régulièrement est un groupe qui a compris que l’important n’est pas de s’exprimer fort et convaincre les autres (jeu d’égo), mais bien de les comprendre et de trouver les meilleures idées ensemble !
27 janvier
Quelles règles se donner pour une vie d’équipe efficace et sereine ?
Que ce soit pour le démarrage d’une équipe ou pour un groupe déjà bien installé, revoir ensemble régulièrement les règles d’équipe permet de les rendre explicites pour tous.
Nous vous proposons donc, de parcourir tous ensemble ces règles, de les trier par ordre d’importance ou tout simplement de vérifier que tous les membres du groupe partagent la même définition. Le tout à travers un set de 10 cartes créées par la communauté agile Conserto.
En version grand format à afficher dans la salle ou petit format à distribuer, ces cartes peuvent être utilisées dans plusieurs instances et permettent de faire référence facilement aux règles mises en place dans le groupe.
À vous de jouer !
28 janvier
Vous cherchez une rétrospective agile où tout le monde se divertit tout en travaillant sur des actions concrètes pour améliorer l’équipe ? La rétrospective Mario Kart est faite pour vous !
Tout comme dans le célèbre jeu vidéo Mario Kart, l’objectif est d’arriver jusqu’à la ligne d’arrivée en faisant avancer le personnage de Mario (qui représente l’ensemble de l’équipe) et ce, en relevant des défis sur la route.
Cela permet ainsi de jouer tout en analysant ce qui a plus ou moins bien fonctionné durant le Sprint.
Pourquoi c’est génial ?
- C’est ludique ! Chacun peut s’exprimer sur les événements du Sprint tout en s’amusant.
- C’est visuel ! Le parcours Mario Kart permet de rendre la rétrospective plus dynamique et engageante, avec des éléments interactifs.
- C’est collaboratif ! Les cartes “items” et les cartes « défis » poussent l’équipe à réfléchir ensemble, à trouver des solutions, et à célébrer les réussites.
- Ça motive ! L’aspect jeu donne un côté compétitif et amusant, mais toujours dans le but d’améliorer la manière dont l’équipe travaille.
29 janvier
Toute équipe agile qui se respecte se doit de collaborer, de s’entraider et de (mieux) communiquer.
Problème : votre équipe est éparpillée aux 4 coins de la France (du monde ?)…
Suivez les conseils de la communauté de la communauté du Phare Rose (le 6ème va vous étonner).
Découvrez “Le petit guide du télétravailleur” : des conseils pour essayer de mieux collaborer à distance.
30 janvier
Votre projet roule-t-il comme sur des roulettes ou traverse-t-il l’enfer ?
Avec l’atelier Highway to Hell, embarquez pour une rétrospective originale qui mélange fun et introspection. Grâce à une échelle humoristique allant de “je roule dans le bonheur” à “je roule en enfer”, identifiez les succès à célébrer, les obstacles à contourner, et les réparations à entreprendre pour remettre votre projet sur la bonne voie.
Une session dynamique et collaborative pour transformer vos road-trips agiles en autoroutes du succès !
31 janvier
Vous livrez vite, mais créez-vous vraiment de la valeur ?
L’Evidence-Based Management (EBM), proposé par Scrum.org, transforme les suppositions en preuves, les livraisons en impact et les améliorations en progrès mesurables.
Qu’est-ce que l’EBM ?
L’EBM aide les équipes à prendre des décisions basées sur des données et des faits, plutôt que sur des suppositions.
Contrairement à des approches purement intuitives, l’EBM met l’accent sur les résultats, c’est-à-dire les bénéfices réels pour les utilisateurs et les parties prenantes.
Il y a 4 domaines clés de l’EBM (appelé Key Area)
- Current Value (CV) : Mesure la valeur actuelle que le produit ou le service apporte aux utilisateurs, aux clients et à l’organisation.
- Exemples d’indicateurs : satisfaction client, parts de marché, engagement des utilisateurs.
- Unrealized Value (UV) : Mesure les opportunités de valeur qui n’ont pas encore été exploitées.
- Exemples d’indicateurs : segments de marché inexploités, besoins non satisfaits des utilisateurs.
- Time-to-Market (T2M) : Mesure la capacité de l’organisation à fournir rapidement de nouvelles fonctionnalités ou produits.
- Exemples d’indicateurs : temps de cycle, fréquence des déploiements.
- Ability to Innovate (A2I) : Mesurer la capacité à proposer des solutions innovantes et à répondre aux besoins changeants du marché.
- Exemples d’indicateurs : taux de défauts, réactivité aux retours clients.
Comment l’utiliser ?
- Collecter régulièrement des données fiables sur les quatre domaines clés.
- Interpréter les résultats en se posant les bonnes questions : “Que montrent ces données ?”, “Quels ajustements sont nécessaires ?”.
- Expérimenter et ajuster en continu pour améliorer les résultats.
Pourquoi adopter l’EBM ?
- Orientation sur les résultats : L’EBM aide à se concentrer sur ce qui compte vraiment : la valeur livrée aux utilisateurs.
- Amélioration continue : Avec une approche incrémentale, il devient possible de corriger le tir rapidement
- Transparence et alignement : Les métriques utilisées facilitent une compréhension partagée au sein de l’organisation.
L’EBM en 3 slides ?
Découvrez un extrait de notre formation PSPO II qui résume en 3 slides l’intérêt et les bénéfices de l’EBM.
Envie d’aller plus loin ?
Vous êtes intéressé(e) par l’EBM et souhaitez approfondir vos connaissances en gestion de produits ?
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- Maximiser la valeur grâce à l’EBM,
- Appliquer des outils concrets pour la gestion basée sur des preuves,
- Faire évoluer vos compétences de Product Owner.